Est-ce que les opposants à Paul Biya, les « anti-sardinards », vont changer leur méthode ?

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La Brigade Anti-Sardinard (BAS) : de la violence verbale à la violence physique

La Brigade Anti-Sardinard (BAS) est un mouvement d’opposition à Paul Biya, apparu dans la diaspora après la présidentielle de 2018. Depuis sa création, ce mouvement a multiplié les actions violentes, passant de la violence verbale avant les élections à la violence physique après les élections. Le dernier incident en date s’est produit lors d’un concert de Grace Decca, une icône camerounaise du makossa, à Leicester (Royaume-Uni). Un militant de la BAS a contourné le cordon de sécurité pour se déshabiller devant le public, volant ainsi la vedette à l’artiste.

La BAS : un mouvement controversé

Depuis sa création, la BAS est un mouvement controversé. Certains le considèrent comme un mouvement de libération, tandis que d’autres le voient comme un groupe de terroristes. La BAS a été accusée d’avoir commis des actes de violence, notamment des enlèvements et des assassinats. Le gouvernement camerounais a également accusé la BAS d’être financée par des puissances étrangères, notamment la France.

La BAS : une menace pour la stabilité du Cameroun

La BAS représente une menace pour la stabilité du Cameroun. Le mouvement a appelé à la destitution de Paul Biya et a promis de poursuivre sa lutte jusqu’à ce que le président démissionne. La BAS a également appelé à la sécession des régions anglophones du Cameroun. Les actions violentes de la BAS ont déjà causé des pertes en vies humaines et ont perturbé la vie quotidienne des Camerounais. Il est donc important que le gouvernement camerounais prenne des mesures pour mettre fin aux activités de la BAS et garantir la sécurité de la population.

Mots clés : Brigade Anti-Sardinard, Paul Biya, opposition, violence, Cameroun, sécession, sécurité, gouvernement, diaspora, France.

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