Des sources proches de la rédaction de la chaîne de télévision Vision 4 ont fait allusion à un licenciement en cascade dans la boîte dirigée par l’homme d’affaires et multimilliardaire Jean-Pierre Amougou Belinga en fin d’hier.
Une trentaine d’employés vont devoir subir cette nouvelle vague de licenciements chez Vision 4. Mais en ce moment, ce lundi 14 novembre 2022, 13 personnes sont déjà tombées et ont pris la porte, dont le rédacteur en chef et le responsable technique, selon des informations de sources liées aux médias.
On se demande alors pourquoi l’homme d’affaires et multimilliardaire Jean-Pierre Amougou Belinga recourt à de tels licenciements corporatifs de son média Vision 4 ?
Parmi les diverses raisons invoquées, la plus probable serait l’échelle salariale élevée. Ironique, n’est-ce pas ? Mais ça peut tenir.
Une bonne gestion est très importante pour une entreprise et les sentiments sont très souvent à éviter pour réaliser de bonnes ventes.
En juillet dernier, Salamatou Badiang et la princesse Jessy ont été licenciées. Ces deux cadres sont accusés de graves manquements. Mais ceux qui ont été licenciés hier ne peuvent pas être blessés.
Les articles 34, 35, 36 et 40 du Code du travail camerounais, qui traitent des licenciements, expliquent plus ou moins comment Jean-Pierre Amougou Belinga doit procéder pour ne pas s’attirer des ennuis.
La rupture de la relation de travail à l’initiative de l’employeur ne peut intervenir que dans le cadre d’une relation de travail à durée indéterminée. Cela doit être justifié par une raison économique ou personnelle.
Raisons économiques (non exhaustives) :
– Vente de fonds de commerce
– Difficultés économiques
– Bénéfices réduits
– restructuration
– fermeture des opérations
– Liquidation, faillite
Raisons personnelles (non exhaustives) :
– perte de confiance (loi)
– grosse erreur
– Conséquence d’erreurs mineures (jurisprudence)
– retenue
Rf: camerounweb
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