Home Accusé de corruption, le clan de ‘Beti Assomo’ parle de complot, voici pourquoi!

Accusé de corruption, le clan de ‘Beti Assomo’ parle de complot, voici pourquoi!

Faussement inclus dans une supposée liste d’officiels camerounais interdits de séjour sur le territoire des Etats Unis par les autorités américaines, depuis quelque temps, aussi bien dans les réseaux sociaux que dans certains médias, des chimériques malversations financières et une erronée participation à la chute de Mebe Ngo’o sont outrancièrement attribuées à Joseph Beti par un lobby interne déçu de voir ses prébendes estompées sous la rigueur et l’intégrité du fils d’Ayos, fidèle baroudeur du Président Paul Biya.

Depuis fin mars et avec le dernier séjour au Cameroun du sous-secrétaire d’Etat américain en charge de l’Afrique, Tibor Nagy, une liste de 27 personnalités camerounaises qui pourraient faire l’objet des sanctions américaines, est abondamment partagée dans les réseaux sociaux. Viennent s’ajouter également d’autres attaques portées contre le ministre délégué à la présidence de la République chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo. 


Calomnie : 

Le diktat des mensonges Pourquoi et Qui veut tuer le Ministre Beti Assomo ? C’est la question que se posent actuellement plusieurs camerounais au regard des attaques lancées contre ce fidèle serviteur de l’Etat. Des francs-tireurs, se croyant tapis dans l’ombre, viennent de lancer une nouvelle attaque enflammée, ruisselante de haine et de malveillance contre le Ministre Délégué à la Présidence chargé de la Défense (Mindef) sur sa prétendue mauvaise gestion du Ministère de la Défense et de scan daleuses surfacturation. Une certaine presse à gage instrumentalisée mise à contribution pour le salir. Celui qu’on appelle couramment le Mindef est cité au titre des membres du gouvernement et assimilés, « donneurs d’ordres » par procuration au premier degré et pour d’autres rôles joués dans la tragédie camerounaise. 

Il figure dans cette liste aux côtés du ministre de l’Administration territoriale et secrétaire permanent du Conseil national de sécurité, Paul Atanga Nji, du secrétaire d’Etat à la Défense chargé (Sed), Galax Yves Landry Etoga, du délégué général à la Sûreté nationale, Martin Mbarga Nguele et du ministre délégué auprès du ministre d’Etat chargé de la Justice Jean de Dieu Momo. A cette liste jugée fictive par différentes sources, s’est ajoutée une manipulation mettant en cause le ministre de la Défense au sujet de ce que l’opinion appelle « l’affaire Mebe Ngo’o », où on tend à présenter Joseph Beti Assomo comme le « liquidateur » d’Edgar Alain Mebe Ngo’o. Un rôle qui ne convient pas du tout à l’actuel ministre délégué à la présidence de la République chargé de la Défense (Mindef). Lui que les mêmes sources disent avoir été lâché par le président de la République à l’occasion de l’audience avec Tibor Nagy.

Or, sous la houlette de Joseph Beti Assomo et suivant les instructions du président de la République, Paul Biya, les forces de défense et de sécurité du Cameroun ont connu une véritable modernisation. Une montée en puissance adossée sur la formation notamment en matière de la gestion des conflits et du respect des droits de l’homme. L’entreprise de déstabilisation va plus loin en affublant Beti Assomo de toutes sortes de dérives. Des accusations de malversations financières et de surfacturations sans fondement lui sont attribuées non sans appeler à son arrestation. Mues par le sinistre dessein de le discréditer aux yeux de la troupe dont il est très proche, et sans doute auprès du Chef suprême des armées, les officines engagées dans la destruction du Mindef entretiennent un activisme avilissant contre ses actions.

Il n’est pas étonnant que la récente acquisition des ambulances ultramodernes dont l’absence sur le terrain opérationnel constituait un grave handicap pour les troupes aux fronts ait été accueillie par une avalanche d’accusations infondées de surfacturations. Complot les assauts des clans Pour mieux parler de tout ce qui concerne les Armées ou le Ministère de la défense, il faut avoir des faits vérifiés et vérifiables. Ce que les saboteurs du Ministre Joseph Beti Assomo n’ont pas cherché à avoir, se contentant des ragots et autres folles rumeurs ventilées par des jaloux et ceux qui veulent ternir l’image de ce membre du gouvernement qui bénéficie de l’entière confiance du Chef de l’Etat, Chef des Forces Armées.

Il est donc important pour ceux-là d’avoir une bonne maitrise des questions relatives à la passation des marchés spéciaux, avant de ventiler leur tissu de mensonges. Le Ministre BETI ASSOMO travaille et ne veut pas se laisser distraire. Il s’applique au quotidien à accomplir les missions que lui confie sa hiérarchie. Et jusqu’à présent, ses actions sont accueillies favorablement par les personnels du Ministère de la défense, mais aussi de l’ensemble des camerounais. Joseph Beti Assomo mériterait donc d’être laissé tranquille pour poursuivre sereinement sa délicate mission. Au demeurant la gestion du Ministère de la Défense est régie par des règles strictes avec lesquelles l’on ne prend pas ses libertés. Les auteurs de la malsaine cabale lancée contre Beti Assomo devraient le savoir. Cet Homme si proche de la Troupe pour ceux qui le connaissent, ainsi que son style de vie fait de détachement, discrétion et sobriété, ne se laissera donc pas divertir par cette cabale nourrie et entretenue par ceux qui portent le deuil de leur liberté de » manœuvre » à laquelle, selon des sources, il aurait « imprudemment » touché. 

Enfin, le Ministre Délégué à la Présidence chargé de la Défense n’a rien à voir, à notre connaissance, avec ce que les prestidigitateurs de l’ombre qualifient de guerre Bulu /Nanga car ne sachant de quoi il s’agit. La modernisation de l’armée fait partie de ses priorités. La preuve, il vient d’acheter des Ambulances Ultra modernes des V8. Selon des spécialistes, depuis que l’armée existe, il ya jamais eu ce genre d’ambulances au Cameroun. Né le 17 août 1959 à Ayos dans le département du Nyong-et-Mfoumou (région du Centre), cet administrateur civil principal hors échelle, est nommé ministre de la Défense le 2 octobre 2015. 

Ce mari et père exemplaire possède des distinctions nationales qui illustrent son mérite, son savoir-faire, sa compétence et surtout sa probité. Joseph Beti Assomo est à la fois, Chevalier du mérite Camerounais; Officier du mérite Camerounais; Chevalier de l’ordre national de la valeur; Officier de l’ordre national de la valeur; Commandeur de l’ordre national de la valeur et Grand officier de l’ordre national de la valeur. Prouesse Une Armée qui rayonne sous Beti Assomo flegmatique Pas étonnant que selon le classement 2018 des armées les plus puissantes dans le monde, publié chaque année par le site américain spécialisé Global Fire Power (Gfp), celle du Cameroun soit au 22e rang en Afrique sur 34 pays classés, et 110e à l’échelle mondiale. 

Dans la zone Cemac, l’armée camerounaise est devancée par celle du Tchad, 16e force militaire sur le continent et 94e dans le monde. Dans ledit classement, les cinq premiers pays africains sont par ordre, l’Egypte, première puissance militaire africaine et 12e mondial, l’Algérie 23e au monde, l’Afrique du Sud 33e, le Nigeria 43e, l’Angola 48e et l’Ethiopie 51e dans le monde. Les armées de terre, de l’air et la marine nationale constituent la principale architecture des forces de défense du Cameroun qui comptent un peu plus de 30 000 hommes. À côté de ces composantes, elles peuvent compter sur l’appui des troupes d’élite dont le Bataillon d’intervention rapide (Bir), la garde présidentielle, Groupement polyvalent d’intervention de la gendarmerie nationale (Gpign) et les sapeurspompiers viennent étoffer toutes ces composantes de l’armée camerounaise.

Selon de nombreux analystes, l’armée camerounaise brille par un professionnalisme remarquable en Afrique centrale. Elle est dirigée par un pouvoir civil. L’actuel ministre de la Défense, Joseph Beti Assomo est de ce point de vue particulièrement remarquée par sa discrétion, son efficacité dans la gestion des hommes et des actions sur le terrain. Lui qui a réussi comme ses devanciers à hisser cette troupe parmi les forces apolitiques du continent.

Source: La République N°015

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