Abdallah Hamdok a retrouvé son poste de Premier ministre 28 jours après le coup d’État militaire qui l’a renversé. En vertu de l’accord signé le 21 novembre avec le leader putschiste, il est désormais chargé de former un gouvernement de » technocrates ».
La plupart des grands acteurs internationaux semblent avoir choisi la prudence. Répondre l’accord conclu entre le Premier ministre et l’armée au Soudan par exemple, les Etats-Unis se disent » encouragé « En raison du retour d’Abdallah Hamdok et de la libération annoncée de prisonniers politiques. Mais Anthony Blinken ajoute qu’il « insiste « À la poursuite des discussions et même à » redoubler d’efforts », tout en condamnant la violence de la répression.
« encouragé « C’est aussi le mot utilisé par la « troïka » – la Norvège, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, l’Union européenne, la Suisse et le Canada – qui sont aussi » répète solidarité avec le peuple soudanais « . Elle dit d’attendre » prochaines étapes » pour » répondre aux aspirations de la population « . C’est aussi le cas pour la Turquie, qui est soucieuse de » souligner l’importance de prendre en compte les attentes de toutes les couches du peuple soudanais ».
L’Union africaine, de son côté, lui parle » la satisfaction « . Elle » se félicite de cette étape importante vers le retour à l’ordre constitutionnel » et » encourager »Acteurs politiques à« approfondir cette orientation », Mais ne fait aucune mention du retour du Soudan au sein de ses autorités.
Quant aux Émirats arabes unis, très influents dans l’armée, ils ne commentent pas non plus l’accord signé dimanche.
.
#Accord #sur #Soudan #réponses #mesurées #communauté #internationale
Laisser un commentaire