Dimanche, le rideau est tombé sur la Biennale algéro-française du design dans la capitale algérienne.
Pendant un mois, du 27 mai au 27 juin, autour du thème de réinventer la ville par le design, artistes et amateurs d’art se retrouvent lors de ce rendez-vous. Un événement auquel très peu de participants ont pris part en raison de la crise sanitaire.
Franchement, cette biennale m’a transformé, c’est grâce à cet événement que j’ai pu concrétiser ce projet que j’avais en tête depuis longtemps. Je l’ai pris comme un défi après l’appel de Feriel pour me proposer de participer à la Biennale du Design, souligne l’artiste Hichem Gaoua.
Pour cette première édition, DZign 2020+1 veut proposer des pistes pour appliquer les méthodes propres au design et adapter les processus d’intervention dans la ville à chaque contexte en en faisant la porteuse du développement durable, économique, culturel et social.
En novembre, Alger sera la capitale méditerranéenne du design et de l’architecture, avec plusieurs grandes expositions, conférences, rencontres, de grandes personnalités du monde culturel, comme Matali Crasset, Jean-Paul Viguier, Djamel Klouche ou encore Chafik Gasmi.
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