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CM – 7 façons de penser la peine de mort, abolie en France il y a 40 ans

« Notre responsabilité de protéger et de défendre la vie humaine à chaque étape de son développement. Depuis le début de mon service, cette conviction m’a conduit à défendre la cause de l’abolition universelle de la peine de mort à différents niveaux. Je suis convaincu que cette voie est la meilleure, puisque chaque vie est sacrée, chaque personne est dotée d’une dignité inaliénable et la société ne peut que bénéficier de la réhabilitation des crimes condamnés. (Pape François, 24 septembre 2015, devant le Congrès des États-Unis).

Ce samedi 9 octobre 2021, sera commémoré le 40e anniversaire de l’abolition de la peine de mort en France. Le président Emmanuel Macron assistera (bien entendu) à la cérémonie officielle. C’est l’occasion de revenir sur le sujet, d’autant plus que l’un des candidats à la présidentielle, Éric Zemmour, a réitéré sa volonté de rétablir la peine de mort (mais ce n’était pas l’urgence).
La peine de mort a en effet été abolie en France. Mais il a été aboli tardivement. Dès le 8 décembre 1908, les députés français auraient pu voter pour l’abolition, mais ils l’ont rejetée avec 330 voix contre 201. Les 17 et 18 septembre 1981 eut lieu le débat parlementaire décisif et son adoption par les députés non seulement de la majorité, mais aussi par certaines figures de l’opposition comme Jacques Chirac, Philippe Séguin, Bernard Stasi, Pierre Bas, Loïc Bouvard etc. le 9 octobre 1981 Loi n° 81-908 du 9 octobre 1981, dont l’article 1er dispose : « La peine de mort est abolie. « .
La peine de mort a été abolie dans l’un des actes les plus honorables du président François Mitterrand, qui, malgré son opportunisme légendaire, avait pourtant affiché de fortes convictions. Il faut aussi rendre hommage à l’un des derniers actes de son successeur, le Président Jacques Chirac, pour avoir constitutionnellement l’abolition de la peine de mort le 19 février 2007 en introduisant l’article 66-1 de la Constitution : « Nul ne peut être condamné à mort . Pour l’anecdote, c’est Pascal Clément, alors ministre de la Justice, qui a défendu cette révision constitutionnelle dans le débat parlementaire du 30 janvier 2007, alors qu’il avait posé une question préalable le 17 septembre 1981 pour éviter le même débat, vingt-cinq il y a des années.
Le ministre de la Justice Robert Badinter de 1981 incarne cette réforme de l’abolition de la peine de mort à la lumière de l’histoire nationale. S’il ne rejette pas cette incarnation, il peut être fâché d’être réduit à cette seule action, et surtout, il a été amené à entreprendre cette réforme, mais elle n’était pas prévue. D’abord, le 22 mai 1981, François Mitterrand nomme son ami radical Maurice Faure ministre de la Justice, et il aurait dû le rester un certain temps, pour qu’il se charge de mettre en œuvre cette réforme. Mais la justice était un ministère trop exposé pour ce dilettante de la politique, à tel point qu’après un mois de mandat, après les élections législatives de juin 1988 à l’occasion de la nomination du second gouvernement de Pierre Mauroy, il a renoncé à ces fonctions.
En réalité, donc, l’abolition de la peine de mort était une réforme de François Mitterrand plutôt que de Robert Badinter lui-même, tout comme Valéry Giscard d’Estaing s’est fâché lorsque la loi sur l’avortement était liée à Simone Veil, qui (elle était ministre de la Santé et pas ministre de la Justice, qui était Jean Lecanuet à l’époque et qui ne voulait pas réformer), la loi sur l’avortement était avant tout la réforme de la VGE.
Comme on le voit, l’abolition de la peine de mort était « sûre » non seulement d’un point de vue constitutionnel (la Constitution doit être révisée si elle doit être rétablie) mais aussi d’un point de vue international. En effet, la France s’est engagée à maintenir la peine de mort, abolie dans de nombreux traités et conventions internationaux, notamment l’article 2 de la Charte européenne des droits fondamentaux : « Nul ne peut être condamné à mort ni exécuté. « (Ce texte vient de l’Union européenne).
Le 17 février 1986, la France a ratifié le Protocole n° 6 à la Convention européenne des droits de l’homme, qui a été adopté par le Conseil de l’Europe le 28 avril 1983 à Strasbourg et qui proclame en son article 1 : « La peine de mort a été abolie. . Personne ne peut être condamné ou exécuté à une telle peine. », ce qui permet quelques exceptions. Le 10 octobre 2007, la France a également ratifié le Protocole n°13 à la Convention européenne des droits de l’homme, adopté par le Conseil de l’Europe le 3 mai 2002 à Strasbourg, qui interdit la peine de mort en toutes circonstances, y compris en temps de guerre, ou lorsque la guerre est menacée. Ces deux protocoles cités sont diffusés par le Conseil de l’Europe et non par l’Union européenne. Le 2 octobre 2007, la France a également ratifié le Deuxième Protocole facultatif au Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), qui a été adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies le 15 décembre 1989 à New York et est entré en vigueur le 11 juillet. , 1991 interdit la peine de mort (ce protocole est diffusé par l’ONU).
Mais revenons aux arguments, car il y a encore des discussions sur le sujet. Je propose ici quelques pistes de réflexion, très humbles et très concises. Le premier point est que lorsque nous vivons un choc terrible dans la vie comme le meurtre d’un enfant, nous prônons naturellement la peine de mort (heureusement, ce sentiment n’est pas automatique). Ce n’est pas constructif car la mort d’un criminel ne ramène jamais la victime à la vie, mais cela peut apaiser la famille, dans un sens de vengeance assez malsain. Souvenez-vous, le pape Jean-Paul II a pardonné à quiconque a tenté de l’assassiner le 13 mai 1981. Mais tout le monde n’a pas la force spirituelle de ce Pape extraordinaire. Les sondages montrent qu’à chaque terrible nouvelle ou vague de terrorisme, les opinions en faveur de la peine de mort renaissent. C’est un sentiment instinctif, l’homme peut aller au-delà. Doit aller au-delà de cela Le deuxième point est que la peine de mort définit la peine la plus élevée, la plus élevée. Sans la peine de mort, il est difficile de définir une telle peine, et l’institution de la véritable peine de prison peut être comparée à ce substitut. On parle aussi de la hiérarchie des phrases. Le nombre de condamnations à mort a diminué dans les pays non abolitionnistes qui ont instauré la réclusion à perpétuité.Le troisième point est que la justice est toujours prononcée au nom du peuple français, et donc en mon nom. Je refuse que mon nom soit utilisé pour tuer un homme quels que soient les crimes qui ont été commis. Et je refuse aussi de l’avoir au nom de mes proches.Le quatrième point est que l’argument dissuasif n’a jamais fonctionné. Il fallait s’y attendre puisque la plupart des meurtres n’étaient généralement pas planifiés la veille et étaient donc mal pensés. Le risque de la peine de mort n’a jamais eu d’impact sur aucun crime futur. D’une part, pour être vraiment dissuasifs il faudrait revenir aux exécutions publiques (si elles sont cachées elles ne sont plus dissuasives, sinon intellectuelles, et si nous avons arrêté les exécutions publiques c’est précisément parce qu’elles ont montré la cruauté de l’une de ces peines et s’est prononcé en faveur de son abolition). En revanche, si la peine de mort avait un effet dissuasif, il y aurait moins de délits dans les pays qui n’ont pas encore aboli la peine de mort, ce qui ne semble pas être le cas notamment aux États-Unis, qui soutiennent la peine de mort pour les les terroristes. Ne soyons pas hypocrites, et François Hollande a même semblé apprécier (selon certains journalistes) le fait que certains États soient technologiquement capables d’éliminer des gens n’importe où dans le monde sur la base du terrorisme. Donc pour la France ça existe toujours, sans aucune justice, sans procès, mais on peut aussi considérer ce fait comme un fait de guerre, puisque les terroristes sont nos ennemis. Dans tous les cas, réintroduire la peine de mort pour les terroristes n’arrêtera certainement pas le terrorisme car les terroristes islamistes sont des êtres suicidaires et préfèrent même mourir pendant leur crime entraînant la mort de la plupart du point est le risque d’erreur judiciaire. La justice humaine, comme tout ce qui est humain, est faillible. Le risque de condamner et d’exécuter un innocent est plus grand que le risque de libérer le coupable. Cependant, cela a souvent été le cas. Vous pouvez réhabiliter un homme innocent mais ne jamais le ramener à la vie. Mais attention, cet argument est difficile à utiliser. Aujourd’hui, la technologie permet de rendre les preuves d’innocence ou de culpabilité plus grandes et plus difficiles à scruter (par exemple, l’argument de l’erreur judiciaire peut donc être tourné en faveur de la peine de mort si les tribunaux ont les moyens techniques d’établir la culpabilité de l’accusé. Cependant, je ne suis pas seulement à cause du danger d’une erreur judiciaire contre la peine de mort, mais précisément parce que ce châtiment ne correspond pas à une société humaine qui punit même les crimes les plus répugnants. On ne s’honore pas en imitant les barbares.

/ * * / Le septième point est plus philosophique et riche en contraste. C’est notamment un argument développé par Albert Camus : une fois la société déchristianisée et ne croyant plus à un au-delà après la mort, la peine de mort n’a plus de sens, par exemple celui de la rédemption. Autrement dit, la mort serait plus grave dans une société athée que dans une société croyante. La réponse à cet argument (beaucoup trop grossier) pourrait être qu’il y aurait un peu trop de « facilité » intellectuelle. D’un côté il y a la société et il y a les individus, certains sont croyants, d’autres non. On ne peut jamais parler au pluriel pour la foi. Ainsi, lors d’une messe, nous ne disons pas « nous croyons » au credo, mais plutôt « je crois », nous ne pouvons jamais parler pour les autres. D’autre part, l’Église catholique s’est souvent prononcée contre la peine de mort (depuis le pape Paul VI), et en 2015 encore le pape François. Au contraire, je crois qu’on ne peut pas être en faveur de la peine de mort si l’on est croyant, car le respect de la vie humaine doit être l’un des principes immatériels de la pensée chrétienne.
Ce sont sept points de réflexion qui sont rapides à poser et méritent d’être approfondis. Ils ne sont pas exhaustifs et il y a beaucoup d’autres points, par exemple les criminels (par exemple, pas de peine de mort pour les mineurs au moment du crime) etc.
Je suis fier de la France depuis quarante ans. Elle rejoint les démocraties qui rejettent ce jugement intolérable qui criminalise l’État lui-même. Ce dessin de Franquin dans ses « Idées noires » prouve l’absurdité philosophique de la peine de mort et je suis fier non seulement de son abolition, mais aussi de toutes les mesures constitutionnelles ou conventionnelles, de tous ces obstacles juridiques qui empêchent la réintroduction de la peine de mort . la peine de mort. Sans aucun doute, je crois que cette question est vitale pour la Chine si elle veut devenir la grande nation culturelle, politique et économique qu’elle veut devenir dans la « communauté internationale ». À cet égard, la Russie est en avance sur les États-Unis. Depuis 2003, le 10 octobre est la Journée mondiale contre la peine de mort. C’est un long combat, mais ce n’est jamais en vain. Et la France a joué pleinement son rôle, également sur le blog Sylvain Rakotoarison (3 octobre 2021) http://www.rakotoarison.eu
Pour aller plus loin : 7 pistes de réflexion sur la peine de mort, abolie en France il y a 40 ans Débat parlementaire du 17 septembre 1981 sur l’abolition de la peine de mort (rapport téléchargeable) La mort après Edmond Michelet Peine de mort après Bernard Stasi La mort peine de mort après Robert Badinter Die Peine de mort selon Pierre Bas La peine de mort selon Loïc Bouvard Une lueur d’espoir pour Serge Atlaoui Grave inquiétude pour Mary Jane Veloso Peine de mort pour les djihadistes français Rosa Luxemburg Commune de Paris Georges Mandel Jean Moulin Patrick Henry La peine de mort industrialisée Exécutions répétées version Daesh Exécutions répétées version Hitler Exécutions répétées, version Mao Exécutions répétées, versions Lénine, Trotsky et Staline Exécutions répétées, version Saint-Just Exécutions répétées, version Che Exécutions répétées, version Duvalier Mata Hari : L’exécution d’Archidupe M Aximilien. exécution de Saddam Hussein .Quatorze Exécutions pour le 29 juillet 2016 ? François Mitterrand, pas aussi abolitionniste que sa réputation… Le Pape rejette fermement la peine de mort. Plus de peine de mort. Chaque vie humaine compte. Jugements et exécutions « de la mort » d’Amnesty International en 2014 » (téléchargeable). La peine de mort n’a pas d’effet dissuasif (rapport téléchargeable). La peine de mort, la barbarie humaine. Peshawar, ajoute encore plus d’horreur à l’horreur Maldives : la peine de mort pour 7 ans. La peine de mort selon François Mitterrand. La peine de mort selon Barack Obama. La peine de mort selon Kim III La peine de mort selon Ali le Chimiste Troy Davis Les 1234 exécutés aux USA entre 1976 et 2010 Bleus liste exacte des condamnés à mort et exécutés aux USA depuis 1976 Pour ou contre la peine de mort ?

En Tunisie, un
Une nouvelle loi antiterroriste a été adoptée en juillet 2015. Le texte
remplace une loi votée sous Ben Ali en 2003. La peine de mort,
absent du texte de 2003, introduit dans le texte de 2015 pour une série de crimes « terroristes ». La peine de mort existait déjà dans le code pénal, mais la Tunisie observe un moratoire sur les exécutions depuis 1991.

En Papouasie-Nouvelle-Guinée elle est
Le gouvernement a réintroduit la peine de mort en 2013 après
un texte correspondant soumis au vote du Parlement. Mais ce n’était pas
demandé et en 2015 sous la pression internationale le gouvernement
décidé de revenir.

Aux Maldives,
cependant, la situation est beaucoup plus tendue. Après un moratoire
Un gouvernement de 60 ans appliquant la charia a décidé de
Réintroduction de la peine de mort en 2014 pour les crimes commis par
Consommation d’alcool dans les homicides. Elle peut même être prononcée dès l’âge de 7 ans.
Cependant, les enfants condamnés restent en prison avant de
exécuté le jour de son dix-huitième anniversaire. La première
L’exécution pourrait avoir lieu très prochainement car la Cour suprême de
Les Maldives ont confirmé la condamnation à mort de Hussein Humaam Ahmed pour
le meurtre d’un député en 2012.

Les Philippines,
prendre un chemin encore plus troublant pour eux. aboli en
En 2006, la peine de mort pourrait rapidement revenir. les
Le président Rodrigo Duterte, élu début mai, a en effet promis lors de son
Campagne qui éliminerait des dizaines de milliers de criminels
quand il a été élu. Il a annoncé quelques jours après son élection qu’il « exhorterait le Congrès à rétablir la peine de mort par pendaison ». Mais il semble qu’il ait déjà agi en dehors de tout cadre légal. Selon plusieurs rapports, la police a tué à l’amiable des centaines de trafiquants de drogue présumés.

Vous faites probablement aussi référence aux États-Unis, qui imposent la peine de mort dans 27 États, ou au Japon, ou à Cuba, ou à la Dominique, ou Guyane, ou Jamaïque, ou Thaïlande, ou Chine, ou Vietnam ou Biélorussie ?

@Docteur Faustroll Je pense que si on se posait la question en France et que le niveau intellectuel était là, il se rétablirait vite !! Mais oui, c’est vrai, nous n’avons pas encore touché le fond…

Vous avez raison… L’opinion pour ou contre la peine de mort est une affaire intellectuelle. Plus vous êtes intelligent, plus vous êtes contre vous, n’est-ce pas ? Sécurise ! Bien sûr.

Ici j’ai une théorie alternative pour vous : L’opinion pour ou contre la peine de mort, il s’agit du problème de l’acné résolu ou non. Avez-vous entendu parler du concept de l’acné symbolique, jeune ami dans sa tête ?

Les anglo-américains appellent ça un « coin »
Edition « (cliquer sur » traduire en français), et les militaires
« Distraction » dit : l’éternel adage « Diviser pour mieux régner ».

D’autres États sont passés à l’action et ont repris les exécutions. Le pays le plus emblématique dans ce domaine est les États-Unis.
En 1963, un moratoire est imposé. Mais en 1977, après un
Décision de la Cour suprême de réintroduire la peine de mort en
38 états. En 2015, 28 personnes ont été exécutées aux États-Unis
Amnesty International a pourtant son chiffre le plus bas depuis 1991.

Comme au Tchad, où elle est revenue six mois seulement après son abolition en juillet 2015 « pour punir les auteurs d’actes terroristes ».
Une « promesse » mise en œuvre dès le 29 août. Dix ce jour-là
des membres présumés du groupe djihadiste Boko Haram ont été abattus. les
le même schéma s’est reproduit au Cameroun, où une nouvelle loi antiterroriste étend le champ d’application de la peine de mort.

By
De même, après un moratoire de durée variable, d’autres pays ont
ont également repris les exécutions ces dernières années. C’est le cas
d’Égypte après l’arrivée au pouvoir du maréchal Al-Sisi. Mais aussi des États comme la Biélorussie, Singapour, les Émirats arabes unis, la Jordanie, le Bangladesh, l’Inde, l’Indonésie, le Soudan du Sud, Oman et le Pakistan, selon le rapport annuel d’Amnesty International.

Vous faites probablement référence aux États-Unis, qui la peine de mort a-t-elle été imposée dans 27 États, soit au Japon, soit à Cuba, soit en Dominique, soit en Guyane, soit en Jamaïque, soit en Thaïlande, soit en Chine, soit en Chine, au Vietnam ou en Biélorussie ?

Je ne connais pas les chiffres pour Jupiter, mais sur terre c’est la Chine le pays qui exécute le plus de personnes chaque année !

« Eric Zemmour a réitéré sa volonté de rétablir la peine de mort (mais ce n’était pas urgent) »

Ils ont menti depuis le début : Zemmour est personnellement pour mais, comme je l’ai vu, n’a jamais parlé de le restaurer.

On dit qu’au moment où la hache tombe, la tête met sept minutes à mourir. Les yeux grands ouverts sur la vie.

« En réalité, l’abolition de la peine de mort était plus la réforme de François Mitterrand que celle de Robert Badinter
« 

Avant les élections il a dû oublier qu’il était l’un des premiers guillotineurs de France :

 » Il y a 45 guillotines alors qu’il fait office de garde des sceaux. Il refusera trente-deux demandes de grâce « 

@ Furax Algérie, Algérie française, la conquête de l’Algérie, les « événements » en Algérie, la guerre d’Algérie n’étaient qu’une série d’atrocités. Alors vous parlez d’exécutions capitales en Algérie française, sous le contrôle de FM , gardiens du l’embrasement de cette région, la radicalisation de ses protagonistes, la poursuite des hostilités et de la guerre…. Combien de morts sur l’OAS, sur di e têtu qui s’est opposé à la partition de l’Algérie, combien d’attentats, à l’explosif, à la bombe, à la mitrailleuse, y compris ceux que De Gaulle a anéantis ?

@chantecler je ne nie pas le rôle de l’extrême droite, je rire de la statue du commandant que la gauche a érigée pour cet hypermenteur ; L’indignation de Badinter contre Zemmour est extrêmement drôle ; lui, l’ami de celui qui « a donné sa personne » au Maréchal, a dû rencontrer Bousquet dans la maison de quelqu’un qui ne l’a jamais renié. Morland était là, bien sûr ! Les grands maîtres Oui… « Arrêtez de jouer les innocents »

@chantecler La peine de mort est une abomination et une horreur. C’est un crime d’État. Beaucoup de grands Français étaient abolitionnistes, comme Victor Hugo, mais avant lui Condorcet, Le Peletier de Saint Fargeau, Lucas, etc. Le roman « Le dernier jour d’un forçat » a mis les forçats au centre du débat. Et ce roman a aidé beaucoup de gens, dont moi, à lutter contre la peine de mort. Un roman est une force !

Le régime du FLN s’est construit sur des mensonges, pas sur la réalité de faits historiques. Tous ceux qui ont étudié l’histoire de cette terrible guerre d’Algérie sans passion et sans idéologie, comme l’ancien membre du FLN, devenu un grand historien de la guerre d’Algérie, Mohammed Harbi, reconnaissent que la guerre d’Algérie n’est pas dirigée uniquement contre les Français , mais contre les Algériens les Français entre eux et les Algériens contre eux Malheureusement, cela n’a pas été enseigné aux Algériens afin de leur ouvrir les yeux sur la complexité de la situation. Le régime du FLN n’a aucun intérêt à informer et à ouvrir les Algériens, car cela leur permet d’attiser la haine contre la France dans tous les problèmes et de tenir la France responsable de tous ses doléances.

Les régimes arabo-musulmans comme les non-arabes musulmans les régimes n’ont jamais expliqué à leur peuple les violences qu’ils se sont infligées les uns aux autres. En conséquence, cette violence niée et jamais exclue qui est absente des récits nationaux se poursuit. Les années de leadership en Algérie, la guerre civile au Liban, l’Irak sous Saddam Hussein, la Syrie sous Hafez al-Assad etc. la peine de mort n’a pas été abolie en France pendant la guerre d’Algérie et les exécutions des membres du FLN étaient similaires à celles des condamnés à mort en France.

La peine de mort n’est qu’une question de temps car nous devons tous mourir car la vie est un incurable maladie ….

Je ne vois pas de substitut aux crimes de haute trahison, des périodes de crimes de masse comme celui auquel nous assistons actuellement sont commis par des lâches pour lesquels je continue d’aimer avant d’être convaincu que la guillotine et son cérémonial non sucré (exécution publique) aurait un effet dissuasif…

Attention à ne pas vous voir plus haut que vous ne l’êtes dans la « civilisation », al les gens vraiment « excités » ne demandent qu’à être talibanisés.

« Je ne vois pas de substitut aux crimes de haute trahison, des périodes de crimes de masse comme celui auquel nous assistons actuellement sont commis par des lâches pour lesquels je suis comme avant je suis convaincu que la guillotine et sa cérémonie non sucrée (exécution publique) ont un effet dissuasif… »

plus que dissuasif, une telle sanction est nécessaire pour marquer le coup et le zèle des  » control freaks  » cool, qui doivent retourner à leur place légitime après cet épisode totalitaire : le fond d’un bassin plein de merde, où ils ont le droit de barboter en paix pour les 80 prochaines années.

Pas étonnant que les chacals soient de retour sur celui qui vient Envie de parler de la peine de mort.

Ce n’est pas qu’ils n’ont pas été prévenus depuis plus d’un an que la roue tourne et que l’horreur et la honte qu’ils se livrent par eux-mêmes par : un n ont été mêlés à ce délire hygiénique, les amener à prendre certains risques pour leur intégrité physique. p> Si vous vous faites vacciner contre votre gré, n’est-ce pas un peu comme la peine de mort pour certains ?

Les Covidos fous vous dira comme toujours : « Ce n’est pas pareil, on tue des gens, mais il s’agit de Sauver des vies »

La peine de mort aurait un intérêt dans le sens où elle pourrait se régler par des négociations.

Je pense de Fourniret, qui a tourmenté la famille de la petite Estelle avec ses révélations ruisselantes jusqu’au bout.

Cela voudrait-il dire que le statut d’assassin est « plus protecteur » que celui qui s’étonne de ne pas redevenir un animal ?

Statut animal que l’on n’attribue plus même au pire des criminels, puisqu’on est actuellement d’un Une certaine dose de monstruosité assertive est déclarée mentalement dérangée.

(Vous n’êtes plus seulement un homme de folie, un no man’s land-like qui déresponsabilise les individus les plus sales et les rend coupables d’occuper un esprit corrompu)

Alors ? L’évacuation de la guillotine ou d’autres injections létales, sont-ce des passes obligatoires à une évolution civilisationnelle (en certains lieux, comme les oasis de pardon) ?

Et si on regardait l’humanité dans son ensemble… Doit-on comprendre que cette utilisation de cette dernière phrase est un signe de supériorité civilisationnelle particulière ou non ?

Et peut-on dire avec certitude qui avance ? Qui recule ? Qui stagne ? Et comment savoir si ce parti pris, flèche bien, qui est « civilisé » ou « animalisé » ?

(je comprends que le terme « animalisé » soit incohérent dans son usage, car un animal n’est jamais par pur plaisir une autre attaque)

@ETTORE Cela me fait penser que la vie a la valeur que certains veulent qu’elle soit ! Quand ils tirent sur des « victimes collatérales » avec leurs drones, quand leurs bombes frappent des enfants sur le pas de leur porte, quand les poisons de Monsanto tuent des enfants, quand ils tirent sur des terroristes, quand ils sont condamnés à mort sans jugement, quand… face à la mort ? … Le risque d’erreurs judiciaires S’il ne s’agit pas de la mort, je vous le dis, vous n’avez aucun complexe à « vous tromper » !! Donc, si nous connaissons la capacité de l’homme à trouver un bouc émissaire, eh bien, nous sommes satisfaits de l’interdiction de la peine de mort pour les ordures ! Je le dis, mais si c’était moi je préférerais être pendu, décapité, empoisonné, électrocuté, ce qui pourrait pourrir toute ma vie en prison, surtout quand j’ai vingt ans ! Mais nous n’avons pas de réponse, hein…

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« Seul le devoir envers l’homme en tant que tel est éternel. « 

Citation de la philosophe Simone Weil de son livre « L’Enracinement » (Ed. Gallimard), publié après sa mort en 1949.

« La protestation peut être vive, le jugement sévère, mais à condition de s’en tenir à un certain niveau intellectuel et moral qui ne fait que le rendre encore meilleur (…)

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