A l’occasion de la prime de Noël et de la parution de son livre Libre, nous avons rencontré Caroline Margeridon, brocanteur du programme Affaire Conclue.
Quant à votre participation à Business Concluded, nous sommes donc venus à vous rencontrer Pour déplacer l’écriture? CAROLINE MARGERIDON – Oui, même si pour deux cercles je ne suis pas mégalomane ! Je me demandais qui achèterait un livre où je parle de moi, mais j’ai été pris au jeu. Remarque, lorsque je faisais mon premier salon littéraire et que je voyais la ligne devant moi, j’étais gêné d’être à côté de vrais écrivains. Mais bon, si ma joie de vivre peut aider ne serait-ce qu’une personne à retrouver le goût de la vie, je me dis, ça en valait la peine…
En tout cas, c’est la preuve de l’effet du spectacle.. Et ce monde télé peut vous rendre fou ! Je le remarque quand je ne peux même pas sortir dans la rue. C’est un leurre dans tous les pays francophones que je visite ! Après tout, ce n’est pas parce que vous êtes reconnu dans la rue que vous êtes une star. Une star, c’est quelqu’un comme Belmondo, Sinatra ou Elvis ! Je ne suis qu’un brocanteur (sourire)…
Et quand Sophie Davant dit qu’elle a peur pour toi, comment réagis-tu ? Sophie se méfie particulièrement d’internet et des réseaux sociaux. C’est une télé femme qui est née à la télé à une époque où c’était moins facile d’être une femme. Si quelqu’un la critique, elle le voit mal. Tant que ça ne vient pas de mon entourage et des gens que j’aime, je m’en fiche. Je suis peut-être moins sensible. Elle me dit aussi que j’en dis trop sur ce que je fais sur Instagram, mais je ne dis jamais tout. Alors je ferais mieux de raconter ma vie qu’une presse pourrie en inventant une, non ?
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