Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, interrogé par Le Parisien, a répondu aux attaques de l’opposition en pointant du doigt plusieurs personnalités politiques. La présidente de la Région Ile-de-France, Valérie Pécresse, l’a pris pour son grade.
La rentrée s’annonce tendue pour le gouvernement. Le 24 août, Le Parisien a publié un entretien avec le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, et il se mitonne pour le moins. Il a profité du retour du Conseil des ministres pour répondre à certaines critiques de l’opposition, notamment après la crise en Afghanistan et la réaction du président de la République d’Emmanuel Macron. « Les attaques de l’opposition, on aurait pu les écrire mot pour mot avant que le drame afghan n’ait lieu. Que ce soit à droite ou à gauche, les critiques de la politique d’Emmanuel Macron sont nombreuses, mais le porte-parole du gouvernement en a nommé deux en particulier : Xavier Bertrand et Valérie Pécresse.
« Entre Xavier Bertrand et Valérie Pécresse, bien sûr, j’ai parfois l’impression que Je respecte M. Mais je crois aussi à l’humilité car les gouvernements auxquels ils ont appartenu n’ont pas été très efficaces sur les questions d’asile et d’immigration. . Les cicatrices se sont ensuite enchaînées contre le président de la région Ile-de-France, comme Gabriel Attal, selon ses propres termes, s’est retourné contre eux. « J’ai entendu Mme Pécresse dire que les deux tiers d’elle sont Merkel et un tiers est Thatcher. Pour l’instant, ce sont surtout les deux tiers sans programme et un tiers sans idées. »
Candidat au concours Présidentielle de 2022 et femme politique de longue date, Valérie Pécresse n’en est pas à sa première attaque. Elle devra peut-être aussi réagir à certaines de ses actions passées dans le cadre de sa campagne, comme les raisons pour lesquelles son mari Jérôme Pécresse a fait polémique en 2016, mais ce n’est pas tout. Gabriel Attal a profité de son entretien avec Le Parisien pour revenir sur ce qu’il croyait être une autre erreur commise par le président du parti Soyons libres. « Valérie Pécresse était la ministre du budget qui a retiré 12 500 policiers et gendarmes de nos rues ». Une décision qui, selon le porte-parole du gouvernement, a contribué à l’incertitude croissante de la population française.
Quelle merde ce mec, il ne connait rien à la vie et veut donner des leçons.
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