Il a beaucoup écrit et défendu la mémoire d’Ambroise Croizat, l’homme de la sécurité sociale. C’est un Français, prisonnier de guerre, convaincu des idées communistes, qui, dans les circonstances de son temps, a mis en place une solution de protection sociale pour tous de la naissance à la mort.
Après être devenu ministre, il la laissa s’appliquer et a ouvert la voie à de nombreuses autres inventions sociales comme les retraites, les comités d’entreprise, la médecine du travail, les lois sociales etc. La mort surprend Ambroise Croizat à 50 ans et des millions de Français sont en route pour ses obsèques. Son travail a inspiré de nombreux pays à travers le monde. Tout comme les travaux de la Commune de Paris ont pu inspirer les jeunes communistes chinois.
Par conséquent, connaître l’histoire est important pour faire vivre le présent et préparer l’avenir. Le fil conducteur repose sur des valeurs et des croyances. Qu’est-ce que Michel Etievent a trouvé dans l’œuvre d’Ambroise Croizat, qui a aussi fondé son propre mode de vie communiste ?
Gardons une application concrète qui nourrit l’expression compliquée : « Chacun selon ses moyens, chacun selon ses besoins » . Nous apportons notre contribution selon nos moyens et chacun en profite selon ses besoins. CGSS est le collecteur et le redistributeur. D’un point de vue médical, l’invention de la Carte Vitale prend tout son sens, car elle permet d’accéder à tous les besoins de la naissance à la mort. La technologie simplifie le fonctionnement et assure le contrôle.
Cela signifie que nous pratiquons le communisme sans même le savoir. Michel Etievent est mort, mais il a réveillé la part communiste en chacun qui vit en lui.
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