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« Les montants investis dans le segment de l’immobilier logistique se sont élevés à 0,7 milliard d’euros à la fin du premier trimestre 2021, ce qui correspond à une baisse de 50% par rapport aux trois premiers mois de l’année précédente », fait valoir Arthur Loyd Logistics dans une enquête économique. et a immédiatement ajouté: « Le marché reste très bon ».
Et Nicolas Chomette, directeur des investissements, a déclaré: « Par rapport au marché des utilisateurs, le début de 2020 a été extrêmement bon pour les investissements en immobilier logistique, caractérisés par la répétition de deux portefeuilles de plus de 300 millions d’euros. » Le Conseil souligne également que « le volume d’investissement au cours des trois derniers mois dépasse généralement de 12% le montant engagé entre les premiers trimestres 2017 et 2020.
De même, JLL fait valoir que » au premier trimestre 2021 733 millions d’euros sur le marché de l’immobilier logistique français »et souligne que« c’est le deuxième meilleur départ depuis 2010 après 2020. Le trimestre 2021 est en baisse de 53% par rapport au niveau extraordinaire présenté début 2020 (1,6 milliard d’euros investis) et est donc significativement sur la performance traditionnellement observée à cette période. « Surtout, Simon-Pierre Richard, Directeur des Investissements Logistiques pour l’Industriel & France chez JLL, a affirmé que » les investisseurs sont de plus en plus intéressés par les actifs logistiques. Le volume des transactions est très élevé. En fait, nous avons encore des actifs commercialisés ou futurs de plus plus de 2 milliards d’euros, pour que l’on puisse imaginer une année 2021 en ligne avec 2020, dans laquelle environ 4 milliards d’euros seront échangés sur le marché de la logistique d’ici la fin de l’année. « La forte concurrence qui en résulte accélère actuellement la compression des intérêts des tarifs pour toutes les stratégies qui devraient être mises en œuvre d’ici l’été. « …
Bien entendu, cet engouement des investisseurs pour l’immobilier logistique s’explique principalement par la demande des utilisateurs. « La demande d’immeubles logistiques français montre une augmentation significative au premier trimestre 2021 avec 644 000 m² vendus, ce qui correspond à une augmentation de 42% par rapport aux trois premiers mois de l’exercice 2020 », a déclaré Arthur Loyd Logistics. Un résultat qui doit certainement être « nuancé » pour Didier Terrier: « Il est en fait toujours 16% en dessous de la moyenne des quantités placées entre 2015 et 2019, alors qu’au début de 2020 il y avait un ralentissement significatif des revenus. » particulièrement puni par la crise sanitaire et l’endiguement de mars 2020 ». Cependant, à l’occasion de l’annonce par Arthur Loyd Logistics de la mise en place d’un service logistique municipal, le directeur général explique que «Le changement de comportement des consommateurs vers le e-commerce a conduit à une refonte majeure des processus de supply chain des grandes entreprises. Et la crise sanitaire a tout accéléré: des marques sans site Web ont été mises en ligne en 12 mois! Demain il est certain que nombre des habitudes acquises en conservation perdureront et cela vaut aussi bien pour B to C que B to B « …
Bref, un marché avec une certaine dynamique, étant donné que certains investisseurs commencent à N’y a-t-il pas une « bulle » dans le processus de développement côté investissement? De ce point de vue, François Le Levier est catégorique: comme le montre aujourd’hui le directeur général en charge de l’immobilier industriel et logistique chez CBRE, « nous sommes ici. » pas simplement pas dans une bulle, mais je pense que les prix continueront d’augmenter à long terme « …
Ref: https://www.immoweek.fr