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CM – Régional au Paca: Hubert Falco, maire de Toulon, quitte LR

Le responsable élu de Toulon a rendu sa carte républicaine après que les tensions entre son parti et la majorité présidentielle ont révélé «Le Figaro».

La remise des armes entre Les Républicains (LR) et La République en Marche (LREM) secoue à plusieurs reprises les couloirs de la rue de Vaugirard. Nouvel épisode pour l’instant: le maire de Toulon, Hubert Falco, a claqué la porte de sa famille politique et a dévoilé Le Figaro ce mercredi 5 mai. Selon le journal, le responsable toulonnais sélectionné n’est plus dans son parti. «Aujourd’hui, je ne nie rien, je ne critique rien, mais je décide de reprendre ma liberté. Je quitte donc le parti Les Républicains », a déclaré la mairie, un ami proche de son collègue de Nice, Christian Estrosi, et Renaud Muselier, candidat à la réélection en Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca). jusqu’au prochain régional en juin Polémique: La crise dans les rangs de la droite après le retrait de la liste LREM au profit du président sortant de la région sud, qui a déclenché un psychodrame parmi les républicains. Le parti, présidé par Christian Jacob, a finalement rendu son soutien au chef de l’exécutif régional sous conditions: pas d’accord avec les marcheurs, ni avec des parlementaires ou des membres du gouvernement sur leur liste. «Il est irresponsable de condamner sans équivoque tout soutien dans une région politiquement sensible comme la région Provence-Alpes-Côte d’Azur! »Dénonce Hubert Falco dans les Piliers du Figaro.

Avec son retrait des Républicains, Hubert Falco questionne« les plaintes et agitations du microcosme LR au niveau parisien », qu’il qualifie à la fois de regards« très ridicules et déplacés » à. Alors que la liste du Rassemblement national (RN) à Paca est tenue par Thierry Mariani, le maire de Toulon craint que son parti « oublie les questions essentielles auxquelles il doit répondre ». Selon l’ancien ministre, « ne pas être en faveur du syndicat si le risque de prendre le pouvoir au Rassemblement national n’a jamais été aussi grand que vous jouez votre jeu ».

Les élus doivent-ils être libres de choisir leur liste régionale ? Pour l’élu de la droite, désormais «homme libre», la réponse est oui. « Ces espaces sont constitués de femmes et d’hommes, de projets, d’intelligence collective, et ils n’ont rien à voir avec les humeurs des appareils parisiens. » Comme le rappelle Le Figaro, Hubert Falco est proche d’Emmanuel Macron, avec qui il n’a pas caché son intention de « travailler ». « Dans les difficultés actuelles, en tant que maire, dans l’intérêt de tous, je soutiens les mesures que le président a prises au nom de la France », a déclaré le conseil municipal lors d’un entretien en octobre dernier.

Falco l’appelle «intelligence», quelle incongruité étant donné le surnom que lui donnent les Varois. Il n’aurait jamais dû dépasser le niveau de maire de Pignans dans toute sa carrière politique, et il n’a jamais rien fait d’autre que la politique. C’était juste qui le nourrissait bien avec le falco et le nourri. Maintenant, ce politicien de la nutrition veut paître dans les champs macroniques, ce qui est bon pour lui. Je ne crois pas vraiment que les électeurs de Toulon aient voté en faveur de ce rassemblement. Alors si Falco a un petit honneur dont je doute fort car il le connaissait très bien dans les années 1980, il devrait démissionner de son poste. Maire de Toulon et recommencez sous le label LREM. Mais il ne le fera pas, il ne sera pas réélu. Macron continue de fondre les tiroirs, et je suis poli avec les autres partis, et ce n’est pas la crème qu’il reconquiert. En 2022, nous allons tout nettoyer.

Il y a des personnalités qui portent gravement atteinte à l’image de la politique. Lorsqu’il parle d’oublier les enjeux, il parle surtout de sa petite personne. Les tambours électoraux ont rebuté les électeurs, découvrez les élections locales à Lyon. Ce qui compte, ce n’est pas d’être élu, mais de faire ce que nous avons promis. Estrosi, qui est élu et abandonne peu après son siège, piétine les électeurs du pied. Il en va de même pour la mairie de Marseille. Si RN doit gagner, c’est parce que ceux qui sont au pouvoir n’ont pas convaincu.

Le premier est évidemment que le parti LR vide sa liste. La seconde est que nous ressentons un vent d’émancipation de Paris dans les régions. Il faut noter que la France est probablement le pays le plus central de nos proches voisins européens et qu’il est clair que le développement est nécessaire.

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