Posté le 13 octobre 202120211013
Dans Leur Algérie, Lina Soualem filme ses grands-parents, dont la vie est ancrée dans un déracinement familial et un déracinement.
Il marche dans la rue avec sa silhouette élancée et un pas lent. Enveloppé dans son manteau, il porte une casquette épaisse. Il passe ses journées dans la halle marchande d’un supermarché. C’est un vieil Arabe qui habite Thiers (Puy-de-Dôme). Une de ces personnes qui nous font nous demander quel a pu être leur cheminement lorsque nos yeux sont braqués sur eux. Sa femme, plus vigilante, est un peu plus jeune que lui, c’est-à-dire qu’elle va bientôt avoir 80 ans. Ils viennent de se séparer après 62 ans de mariage. Ou plus précisément, ils vivent désormais dans des appartements différents situés dans deux immeubles opposés.
Ils s’appellent Mabrouk et Aïcha Soualem et sont réalisés par leur petite-fille Lina, dont le premier long métrage est ici. La réalisatrice ouvre son film par cette situation inhabituelle, mais n’aborde pas réellement son sujet principal. Son Algérie est bien plus intéressante.
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par Christophe Kantcheff
cinéma
Algérie
Article publié
dans l’hebdomadaire n°1675
Du 13.10.2021 17:00:57
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Crédit photo : Thomas Brràmond
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