Science et avenir
Environnement & Nature
Par
AFP
le 05.03.2021 à 02h18
4 min de lecture
Les alertes au tsunami sur le Pacifique ont été levées les unes après les autres vendredi après l’évacuation de dizaines de milliers de personnes dans les zones côtières de la Nouvelle-Calédonie, de la Nouvelle-Zélande et des États-Unis, du Vanuatu et d’autres îles.
An Tremblement de terre de magnitude 8, 1 s’est produit près des îles inhabitées du Pacifique de Kermadec, qui font partie de la Nouvelle-Zélande. Le tremblement de terre qui a éclaté à 8 h 28, heure locale (jeudi, 19 h 28 GMT) a été précédé de secousses de 7,4 et 6,9 dans la même région, déclenchant une série d’alertes au tsunami dans la région. La Nouvelle-Zélande a été le premier pays à annuler son ordre d’évacuation quelques heures plus tard, peu après 00h00 GMT vendredi, en disant que « les plus grosses vagues sont maintenant passées ».
L’alerte au tsunami a été « in vendredi » abrogée dans toutes les zones françaises du Pacifique « puis tweeté au ministre français d’outre-mer Sébastien Lecornu.
La plus haute vague, d’un mètre, s’est produite en Nouvelle-Calédonie sur l’île de Maré dans l’archipel des îles Loyauté, tandis que sur l’île des Pins Yaté et Nouméa des vagues entre 45 et 80 centimètres ont été observés, selon la sécurité de la population civile locale, qui a déterminé qu’aucun dommage n’était à porter plainte.
Sur les îles Wallis et Futuna, l’alerte a été lancée à 11 h 38 (jeudi 23: 38 heures GMT). « La population peut retourner sur la côte », a déclaré la haute administration de cette zone, située à environ 16 000 km de la France métropolitaine.
Les services de secours néo-zélandais avaient ordonné l’évacuation des zones côtières sur de grandes étendues du nord de la Nouvelle-Zélande. (l’île du Nord). « Ne restez pas à la maison! », A exhorté l’Agence nationale de gestion des urgences.
Le Centre d’alerte aux tsunamis du Pacifique (PTWC) à Hawaï avait averti que des vagues jusqu’à trois mètres de haut pourraient frapper la Nouvelle-Calédonie et Vanuatu.
In Nouvelle-Calédonie, les sirènes ont hurlé sur la zone tandis que la sécurité civile signalait une « vraie menace » et demandait aux habitants de sortir de la mer au plus vite.En Polynésie française, l’alarme s’est déclenchée tardivement Déclenchée jeudi matin (vers 23h00 GMT). Malgré les hauteurs de la montée des eaux, inférieures aux prévisions, le laboratoire géophysique de Tahiti est resté en alerte. « Nous avons une cinétique rapide et très peu de temps pour réagir », a déclaré le directeur de l’AFP Stéphane Quema.
Le Centre d’alerte aux tsunamis du Pacifique a ajouté que des vagues plus petites seraient tout aussi susceptibles de frapper des pays éloignés de l’épicentre comme le Japon, la Russie et le Mexique. ainsi que les côtes de l’Amérique du Sud sont en train de trembler.
Le Pérou a émis jeudi soir un avertissement au tsunami sur sa côte de 3 000 km de long, mais initialement sans ordre d’évacuation. « L’arrivée (…) des vagues est attendue à l’aube du 5 mars », a indiqué le Centre national des opérations d’urgence (Coen) sur Twitter.
Au Chili, selon l’urgence nationale, c’était le « jaune avertissement pour les communautés côtières « et » la condition de précaution qui oblige à abandonner préventivement les zones de plage face à un petit tsunami avec des vagues allant jusqu’à un mètre « bureau (Onemi).
» J’espère que tout le monde va bien , en particulier sur la côte est, qui a dû ressentir toute la force de ce tremblement de terre », a écrit la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern après le premier tremblement de terre à 02h27 heure locale sur Instagram.
Ce pays du Pacifique Sud, qui est habitué à l’activité sismique et volcanique, vient de marquer le 10e anniversaire du tremblement de terre de magnitude 6,3 à Christchurch, tuant 185 personnes.
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