Les fautes d’orthographe d’Emmanuel Macron dans le livre d’or du général De Gaulle sont-elles réelles? ?
Le 11 novembre, Maurice Genevois n’est pas revenu seul au Panthé en Ho là-bas, symboliquement, accompagné du cortège du 14, selon le titre de son livre, Témoignage d’un vétéran qui a vécu en enfer dans les tranchées mais est également suivi de deux ouvrages permanents, commandés par l’État L’un est du peintre allemand Anselm Kiefer, l’autre du compositeur Pascal Dossaben C’est la première en près d’un siècle et l’inauguration d’un monument en 1924 que Bouchard a sculpté en l’honneur de « HÃ » © ros inconnus, pour les martyrs ignorés morts pour la France «
Emmanuel Macron a lancé le projet et a choisi les artistes en 2018. Le président Kiefer s’est rencontré à Aix-la-Chapelle alors qu’il recevait le prix Charlemagne et il semble connaître depuis longtemps la musique de Pascal Duisapin. Cette personne est allemande, mais il résidait en France, l’autre est d’origine alsacienne et lorraine, et cette partie de sa famille est en plus À sa famille? ??? Il s’en souvient, « c’était l’allemand puis le français », qui a perfectionné le mouvement œcuménique des acteurs, et de surcroît relativement peu conventionnel d’un point de vue artistique, même si la réputation des deux côtés était bien établie
Dans les murs du Panthéon, à partir de maintenant et pour toujours, nous verrons six grandes vitrines, présentant en elles les matériaux, les matériaux et les couleurs que Kiefer privilégie: du noir, du gris, du jaune, du fer rouillé, des morceaux d’un mur de béton fissuré, des grappes de blé séché et d’or , Des vêtements collés dans une matrice de plâtre représentant des paysages désolés, de vastes plaines et des scènes gelées indiquant le champ de bataille et la vie là-bas, dans le feu ou à l’arrière de ces 14 ont été installés sans grande ostentation de part et d’autre du Panthé sur le transept, en s’appuyant sur la volée d’escaliers qui la bordait, Et les vitrines sont généreuses Cela ne brouille pas les perspectives ou les fresques qui ornent les murs derrière, tout en isolant le théâtre inerte et le monument qui le cache.
Kiefer, adepte de l’art lourd, matérialiste, charnu et parfois dangereux, semble avoir trouvé à Panth © on, l’endroit parfait pour la dignité de son travail même ses deux tableaux colossaux, à la pâte épaisse et granuleuse, évoquent des souvenirs très noirs de ceux des 14e et 14e Armée noire , Dont il a fait don à des collections publiques, mais qui ne voulait pas rester au Panthéon, semble être, chez lui, chez lui. Quant à Pascal Dossapin, il a voulu faire «chanter les pierres» avec un travail sonore, courageux et sérieux, en deux parties Il y a un écho avec des textes en latin, d’Ecclésiaste et de Virgile et des phrases funéraires de la Rome antique, chantées par un chœur, n’est-ce pas? ???? D’autres, les noms de 15000 morts en France, lus par deux comédiens, Florence Daryl et Xavier Gallais Une œuvre immatérielle qui remplit l’espace du Panthéon de manière diffuse et intangible tout autour, la production de ces œuvres permanentes s’élève à un million d’euros L’opération la moins réussie reste l’évitement d’une explosion qui n’a pas été gagnée.
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