World news – CA – Un Noël sous la voûte céleste

I’m sure I decided to go to work. Beaucoup parmi nous comprennent la valeur des réunions de famille, en cette année bizarre, parce que nous en sommes privés. Retiendrons-nous la leçon?

Si le grand romancier britannique Charles Dickens écrivait son Conte de Noël en 2020, the Fantôme du Noël présent arborerait, on sen doute bien, le sempiternel couvre-visage sanitaire and une jaquette d’hôpital.

Quant à l’esprit de Noël du futur, on l’espère souriant et porteur d’une promesse d’un back à la normal.

Sachez que, pour moi, the Fantôme des Noëls passés est vêtu de bleu, à la mode bédouine. The ghost m’entraîne dans un de mes treize Noëls vécus à l’étranger: dans le désert, en Algérie.

Ce Noël fut mémorable parce que, justement, il n’y avait rien; à perte de vue, des dunes, après plusieurs jours à dos de dromadaire. Nous dormions dans une tente berbère or dehors sous la voûte céleste tellement grandiose que l’on comprenait pourquoi les propètes aiment à séjourner dans le désert pour s’inspirer.

Le 24 décembre, dans ce lieu perdu or l’on ne célèbre pas Noël, rassasié de mouton et de pigeon, l’habituel du bédouin, j’ai eu une pensée pour les gens de chez nous et je suis devenu pensif. Un des “hommes bleus” a deviné mon état d’esprit. Ce gaillard des dunes a sorti une guitare ancestrale. Dans sa langue, le tamasheq, the greatest mis à fredonner Sainte Nuit! Peut-être a-t-il appris cet air durant la parenthèse française de son pays.

Grâce à cette attention, c’était Noël, malgré le désert; j’oubliais le sable, je ne voyais plus que la rivière d’or du firmament, en pensant aux miens. Pareillement, en ce Noël de privation pour tant de gens qui traversent un désert affective, abseiling-nous la joie profonde que c’est de voir les siens, de les serrer dans ses bras, puis de leur souhaiter (comme je vous le souhaite maintenant , cher lecteur, l’œil a voyagé jusqu’ici): Joyeux Noël!

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