Il a tenu son assemblée générale annuelle le 5 avril 2021.
Après une longue période d’hibernation due à l’éclosion de la pandémie de coronavirus, le réseau de parlementaires promouvant le genre (REPAGE) a repris ses activités le 5 avril 2021. Ce jour-là, il a tenu son assemblée générale ordinaire.
Dans son édition kiosque du 6 avril 2021, le journal national bilingue est à l’honneur Cameroun Tribune rapporte que: « Le réseau de parlementaires pour promouvoir genre, qui est entré en veille prolongée en 2020 après le déclenchement de la pandémie de Covid-19, a décidé de redémarrer ses activités. C’est dans ce cadre que REPAGE a tenu son Assemblée Générale Ordinaire hier 5 avril 2021 »
A l’issue de cette assemblée générale, le président de ce réseau, l’honorable parlementaire Joséphine Simo Ghimbop, a déclaré qu’il C’était une question de prendre soin de nos statuts, de puits élaborer un plan d’action quinquennal, [entre 2021 et 2025]Nous allons travailler pour voir comment les députés discuteront avec les représentants du gouvernement pour que les femmes ne soient plus marginalisées », on peut lire dans les colonnes du journal.
Par conséquent, en cas d’urgence, REPAGE a décidé de reprendre son déploiement en mettant l’accent sur la sensibilisation de ses propres membres. « Une cible qui sera ensuite étendue à tous les autres députés par le biais de journées d’information, de cours de formation et de séminaires. L’objectif est d’améliorer la compréhension par chacun de l’approche genre et de ses implications « , écrit le journal.
L’honorable Simo Ghimbop explique cela «En ce sens, nous voulons que nous le fassions prendre prendre en compte l’aspect genre, même lors du vote du budget. Nous allons essayer de créer un comité permanent pour s’occuper de cette question la veille. « , note le journaliste.
Enfin, notre confrère note que ce réseau, mis en place le 18 juin 2010, est également destiné à voler vers des pays amis. Il s’agit de tirer les leçons des expériences ailleurs pour améliorer le déploiement au Cameroun. Il se veut un outil de soutien à la politique gouvernementale sur les questions de genre.
Wilfried SUPPRIMER
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