En tant que membre à part entière du Comité central de l’Assemblée démocratique du peuple camerounais (Rdpc), qui a été nommé par Paul Biya, le président national de ce parti, il critique la lenteur dans l’établissement de la carte d’identité nationale.
A 237, il y a eu une vague d’indignation parmi les Camerounais depuis quelques jours sur l’indisponibilité de leurs cartes d’identité nationales une fois le processus de création du document entamé. En effet, certains Camerounais passent des mois sur le récépissé, un document limité d’un point de vue juridique. Selon le cadre du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), Hervé Emmanuel Nkom, l’Etat doit prendre ce problème au sérieux.
«Concernant les difficultés d’accès à la carte d’identité, je sais que nous avons l’art de banaliser ce qui est important. Nous avons la carte d’identité, qui doit se développer au Cameroun. Nous avons un gros problème car une carte d’identité dans ce contexte est la l’insécurité nationale persistante est plus qu’importante », explique l’activiste du Rdpc lors d’un voyage à Abk, un radiodiffuseur privé diffusant depuis Douala, au Cameroun.
Immigrant illégal
En travaillant sur cette antenne, il montre également les effets négatifs de l’indisponibilité de ce précieux document. «Cette situation entraîne un ralentissement de l’activité économique. Nous sommes donc confrontés à un très gros problème de sécurité », explique-t-il.
Il a également remarqué plus tard l’utilité d’un certificat de naissance dans un pays où soi-disant de nombreux compatriotes sont chez eux sans papiers. « En matière d’acte de naissance, c’est même le document à avoir devant les autres, car c’est cette partie qui permet d’établir une carte d’identité ou un passeport … C’est essentiel pour la sécurité », conclut Hervé Emmanuel Nkom .
ref:https://www.camerounweb.com/
Laisser un commentaire