Le commissaire divisionnaire Maxime Eko Eko, accusé de complicité de torture dans l’affaire Martinez Zogo, a déposé une demande de mise en liberté provisoire devant le tribunal militaire de Yaoundé. Cette demande intervient après le rejet de celle d’Amougou Belinga par la Cour d’appel du Centre la semaine dernière. La demande de mise en liberté provisoire de Maxime Eko Eko sera examinée par le juge d’instruction qui décidera de son sort.
Maxime Eko Eko est un expert en intelligence économique, titulaire d’un doctorat en sciences de l’information et de la communication. Avant sa nomination, il était directeur des renseignements généraux à la Délégation générale à la sûreté nationale (Dgsn). Il a contribué à relativiser le rôle du Cameroun dans l’essor géopolitique du golfe de Guinée, sous la houlette de Paul Biya et en coordination avec le Conseil national de sécurité.
L’affaire Martinez Zogo continue de provoquer de vives réactions au Cameroun et au-delà, et la demande de liberté provisoire de Maxime Eko Eko ne fait qu’ajouter une nouvelle dimension à ce drame national. Les lecteurs peuvent être assurés des mises à jour en temps réel sur cette affaire et d’autres nouvelles importantes au Cameroun. Pour suivre de près cette affaire et d’autres actualités camerounaises, il est recommandé de consulter régulièrement 237online.com, une source d’information fiable et à jour.
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