La diaspora se mobilise en solidarité pour la liberté de la presse au Cameroun.

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La diaspora camerounaise en Belgique a publié une déclaration le 3 mai 2023, à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, appelant les gouvernements à soutenir et à protéger la liberté de la presse au Cameroun. Le Cameroun est classé 118e sur 180 pays dans le Classement mondial de la liberté de la presse établi par RSF en 2022. Les journalistes camerounais sont souvent contraints de s’autocensurer ou de soutenir le pouvoir pour éviter les poursuites. Les conditions de travail sont précaires et l’aide à la presse est jugée insuffisante et injuste.

Les journalistes camerounais font face à des agressions verbales et physiques, des arrestations, des procédures de bâillonnement et le risque de meurtre. Les régions anglophones sont particulièrement touchées, où les journalistes sont accusés de complicité avec le mouvement séparatiste. Plusieurs journalistes ont été tués, emprisonnés ou harcelés, et la liste ne cesse de s’allonger. Les associations de la diaspora militante et patriotique du Royaume de Belgique appellent à une réflexion sur le rôle de la presse et une meilleure protection des journalistes.

Le communiqué exprime également la solidarité des associations avec les journalistes disparus et assassinés, tels que Norbert Zongo, Pius Njawé, Jean Ellen, André Kiefer, Wazizi et Martinez Zogo. Ils demandent la libération des journalistes camerounais emprisonnés dans des conditions de procès équitables. La situation de la liberté de la presse au Cameroun est préoccupante et nécessite une action urgente pour protéger les journalistes et garantir leur liberté d’expression.

Contexte tendu pour les journalistes camerounais

Le Cameroun est l’un des pays les plus dangereux d’Afrique pour les journalistes. Les atteintes à la liberté de la presse sont nombreuses et les journalistes sont souvent contraints de s’autocensurer ou de soutenir le pouvoir pour éviter les poursuites. Les conditions de travail sont précaires et l’aide à la presse est jugée insuffisante et injuste. Les journalistes camerounais font face à des agressions verbales et physiques, des arrestations, des procédures de bâillonnement et le risque de meurtre. Les régions anglophones sont particulièrement touchées, où les journalistes sont accusés de complicité avec le mouvement séparatiste.

Appel à l’action des associations de la diaspora camerounaise

Les associations de la diaspora militante et patriotique du Royaume de Belgique appellent à une réflexion sur le rôle de la presse et une meilleure protection des journalistes. Ils réclament la dépénalisation des délits de presse, une répartition plus juste des aides publiques et la protection des ressources informationnelles. La situation de la liberté de la presse au Cameroun est préoccupante et nécessite une action urgente pour protéger les journalistes et garantir leur liberté d’expression.

Solidarité avec les journalistes disparus et emprisonnés

Le communiqué exprime également la solidarité des associations avec les journalistes disparus et assassinés, tels que Norbert Zongo, Pius Njawé, Jean Ellen, André Kiefer, Wazizi et Martinez Zogo. Ils demandent la libération des journalistes camerounais emprisonnés dans des conditions de procès équitables. La situation de la liberté de la presse au Cameroun est préoccupante et nécessite une action urgente pour protéger les journalistes et garantir leur liberté d’expression. La diaspora camerounaise en Belgique appelle les gouvernements à soutenir et à protéger la liberté de la presse au Cameroun.

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