Le quartier de Soa à Yaoundé est confronté à un défi majeur pour trouver de l’eau potable. Les habitants sont souvent obligés de se tourner vers des sources d’eau naturelles, telles que des marigots boueux, pour étancher leur soif. Cette situation expose les inégalités persistantes à Yaoundé, où certains savourent des produits viticoles de première qualité près du stade Paul Biya à Olembé. Boire de l’eau boueuse et non traitée peut avoir des conséquences désastreuses sur la santé des habitants de Soa, augmentant considérablement les risques d’infections et de maladies d’origine hydrique, telles que le choléra, la dysenterie et la typhoïde.
Face à cette situation alarmante, il est indispensable que des mesures soient prises pour améliorer l’accès à l’eau potable dans le district de Soa. Les autorités locales, les ONG et les citoyens doivent travailler ensemble pour trouver des solutions durables et garantir que tous les habitants de Yaoundé aient accès à une eau propre et sûre. L’histoire du quartier Soa met en évidence le besoin de plus de solidarité et d’égalité dans la répartition des ressources à Yaoundé. Tous les citoyens, quel que soit leur statut social ou économique, doivent avoir accès aux services de base, y compris l’eau potable.
En somme, la quête désespérée d’eau potable à Soa met en lumière les inégalités persistantes à Yaoundé et appelle à plus de solidarité et de justice dans la répartition des ressources. Il est temps de mettre fin à cette situation préoccupante et d’assurer un avenir meilleur à tous dans la capitale camerounaise.
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