L’adjoint au maire de Yaoundé IV annonce qu’il nommera son parti politique, le Parti démocratique des pauvres du Cameroun.
Chassé du ciel, l’ange Saint Eloi construira un nouveau monde dans lequel il régnera comme seul maître. L’idée lui est restée en tête depuis un certain temps, et Saint Eloi Bidoung entend enfin la faire sortir du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) où il a été expulsé pour une période de septembre dernier, 36 mois « . pour rien, »il innocemment. Le premier adjoint au maire de Yaoundé IV.A annoncé jeudi 3 décembre 2020, que CameroonInfo.Net s’est engagé dans un autre projet politique, en particulier la mise en place de son parti dénommé le Parti démocratique des pauvres du Cameroun ( PDPC).
«Si vous avez été expulsé de votre parti et que vous êtes un homme politique avec une vocation politique, vous devez avoir une structure politique. Je veux être président de la République et il faut être à la tête d’un parti », déclare Saint-Eloi Bidoung.
Le militant du RDPC admet avoir déjà entamé le processus administratif de légalisation de cette installation auprès des services administratifs compétents depuis près de deux mois. L’idéologie prônée par le PDPC est de « lutter contre la pauvreté qui prévaut au Cameroun ». Comment pouvons-nous être producteurs de cacao, café, huile, fer, bauxite, bananes, bois … et rester pauvre? Il y a forcément un problème et les gens doivent savoir gérer ces ressources », explique Saint Eloi Bidoung, de son vrai nom Bonaventure Eloi Bidoung.
Dans la soixantaine, il veut se positionner avec son PDPC pendant la grossesse parmi les leaders politiques qui aspirent finalement au plus haut magistrat. Il est donc hors de question de vendre sa riche expérience politique dans un autre parti, même s’il était opposé à des partis d’opposition comme le Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN), l’Union des groupes populaires du Cameroun (UPC) ou le Mouvement pour la renaissance du Cameroun ( MRC).
Saint Eloi Bidoung a été passé sous un extincteur dans son parti d’origine, dans lequel il a presque toujours offert une liberté de son qui perturbe le bâtiment du parti, et a plus que jamais confirmé l’idée de son entreprise politique après la démolition dans la nuit du mercredi 2 décembre. 2020, depuis la façade de sa Gargotte à Yaoundé par des agents de la communauté municipale de Yaoundé (CUY) Il appelle «un règlement».
REF: Cameroon Info
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